~Puppets can be Insane Too~
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Forum de la Secte. À sa tête, la plus grande maîtresse sectaire: KiiRa! 8D (c't'à dire moi _)
 
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 Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic

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MaD QueeN
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MaD QueeN


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MessageSujet: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:01

Voilà, je précise que l'histoire est pas dans l'ordre chronologique, parceque les reves ca se controle pas u_u. Et pis âmes sensibles s'abstenir.


Chapitre un



Par une nuit enneigée. Il faisait sombre car la lune était noire. Il n'y avait personne aux alentours et je venais de me rendre au cimetière pour ma défunte mère. Seulement je n'avais pas vu le jour couler sur moi et j'étais effrayé de marcher seul de nuit. Soudain je me sentis observer. Un homme avec un air sale me suivait, il pensait que je ne l'avais pas vu. Je mis donc à accélérer le pas, car je ne suis, il faut l’avouer, pas très grand et assez fragile. Il continua de me suivre, et la rue était déserte ! Je me mis alors à courir espérant trouver quelqu'un !
Donc je courait aussi vite que mes jambes me le permettaient, j'étais tout le temps malade à l’époque. Mes pieds trempés par la neige, mes cheveux dégoulinant d'eau...je mourrai de froid, quand soudain je me cognais contre quelqu'un et fut projeter dans la neige.
- Pourquoi courez ainsi jeune homme ?
Sa voix ! je m’en rappellerai toute ma vie! Il m'aida à me relever et je lui expliquai que j'étais suivis par un briguant. Il sourit, je fus intrigué par ses canines qui me semblaient anormalement grandes, mais je n'y prêta pas plus attention.
Il me laissa seul, dans la rue et partit à la rencontre de ce vil humain. Soudain j'entendis un cri de terreur et un grognement. Je fus effrayé et m'échappais ne sachant où aller. Mais je me retrouvai de nouveau face à lui. Je me demandai comment il avait fait pour me rattraper ainsi !
- Ou courez vous ainsi mon jeune ami ? Je ne vais pas vous dévorer !
Ah la belle ironie ! Il a du sang sur le col de sa chemise et sur les lèvres.
Je ne mis à pleurer, et à le frapper sur le torse, j'avais eu si peur, et lui qui ne voulait pas me laisser partir ! Je voulais m'enfuir de nouveau, mais il me tenait fermement. Puis soudain la chaleur m'envahie et je m'évanoui dans ses bras.
Quand je me réveillai, je n'était pas chez moi. Mais dans une immense demeure. Allongé dans un lit de satin rouge et noir. D'immenses coussins se trouvaient autour de moi, j'étais à demi nu, ce qui me choqua énormément ! Je me relevait regardant autour de moi, il était la dans l'ombre des rideaux du lit. Me fixant avec un petit sourire
Je me couvrais donc d'un drap et le fixait apeuré. Il s'approcha, à quatre pattes sur le lit et me regardait fixement.
- Qu'allez vous me faire ?
- Rien tendre ami...seulement vous donnez un baiser.
Il s'approcha et me retira le drap des mains, fixant mon corps tremblant. Il me caressa la joue puis le cou et approcha son visage du mien. Je n'arrivais plus à bouger, ni même protester.
Soudain il m'embrassa, je ne su dire pourquoi il le fit, et pourquoi je ne protesta pas...Seulement il était si froid...je me laissa donc sombrer dans son baiser et le serrai contre moi.
- Vous n'avez plus peur ?
Il posa son front contre mon épaule et je sentis ses lèvres glacées se poser sur ma peau. Et puis une immense douleur m'envahie le côté, il me mordait...son corps devenait chaud et le mien glacé...je poussai un hurlement de douleur. Je cru mourir quand il resserra sa mâchoire contre ma chair. Puis quand il me lâcha, je vis mon sang qui coulait de sa bouche, je m'effondrai sur le lit en pleures...Vais-je mourir ?
Il vint vers moi et me serra contre lui. Il me consola.
- Non je ne vais pas vous laisser mourir mon tendre ami.
Il se coupa sur l’épaule, au même endroit que là ou il m’avait mordu auparavant, me pris doucement les mains et les posa sur la blessure.
- Prenez mon sang.
Je m'exécutai tremblant, je bus son sang, si chaud et doux. Il devait souffrir car je l'entendis grincer des dents. Il poussa un gémissement et me dit d’arrêter. je retira ma bouche de son corps et le fixa perdu. Il essuya le filet de sang qui me coulait sur la bouche.
Il m'allongea et me fixa dans les yeux. Me dit que j'allai souffrir quelques instants car mon corps allait mourir, qu’il partait mais reviendrai quand la chose serait passée. Ainsi il me laissa à demi nu dans ce lit, quand mon corps mourut je ressentis une vive douleur dans tout mon être et je me mis à hurler. Pourquoi n'était-il pas rester près de moi ?


Dernière édition par le Dim 25 Nov - 0:09, édité 1 fois
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MaD QueeN
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:01

Chapitre deux






Je me souviens, de cette nuit d'hiver, nous étions assis tous deux devant le feu de cette grande cheminée. Il neigeait dehors, cela faisait cinquante ans que nous vivions ensemble. Cinquante années, pendant lesquelles ni vous, ni moi, n'avions changer. Je voyais sur votre visage une immense tristesse. Ce jour là nous nous étions disputés...Mais, moi je souffrais de votre silence, Maître.
Alors je vous ai demandé :
- Vous est-il déjà arrivé de souffrir mon Maître ?
- Oui énormément...
- Qu'elle était la cause de cette souffrance Mon Maître ?
- C'était parce que vous m'aviez fuis tendre ami.
Alors à cause de ses paroles, j'ai sentis en moi une immense honte. Je vous avait fuis, oui, il était vrai, mais après, pendant ces cinquante années, c'est vous qui me faisiez souffrir, en ignorant mon amour pour vous. Oh...Mon Maître j'aurais donné n'importe quoi pour que vous m'apparteniez, rien qu'à moi.
- Mais, mon Maître, je n'étais qu'un humble mortel et alors vous m'aviez effrayé.
- Je le sais mon tendre ami. Cette souffrance que vous m'aviez affligée, elle a disparue aujourd'hui, car pendant cinquante ans et éternellement tu m'appartiendras, mon ami...lorsque je t'ai donné mon sang je me suis assuré que jamais tu n'aimera personne d'autre que moi, même si un jour je t'abandonne.
- Oh mon Maître, pitié ne m'abandonnez pas !
- Je ne le ferai certainement pas. A moins qu’on me force à le faire.
Je m'étais agenouillé au près de vous, ma tête posée sur vos genoux, vous caressiez mes cheveux. Puis doucement vous m'aviez relever et fixer dans les yeux. Je pleurai.
- Ainsi vous pleurez pour moi ?
- Les seules larmes de ma vie d'immortel que je pourrais pleurer, je veux en fait cadeau mon Maître.
- Mon doux Prince, cessez de dire des sottises et embrassez dont votre Maître.
Ce n'est pas moi qui vous embrassais en ce temps là. C'était vous, mais je me laissais ainsi aller dans vos baisers et vos caresses. Cela était immoral dans la société de l'époque, mais qu'importe pour nous, car nous n'étions pas vraiment là, nous n'existions plus pour personne. Alors Maître, pourquoi en ce temps la vous vous amusiez à me travestir ? Auriez vous préféré que je sois une femme ?
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MaD QueeN
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:04

Chapitre trois

ATTENTION YAOI





Par une douce nuit d’été. Oui une douce nuit d’été, vous tourniez en rond dans le manoir. Comme un lion en cage. Assis sur le fauteuil je vous regardais vous énerver.
-Mon Maître, quelque chose vous fait-il soucis ?
-Je ne sais …j’étouffe dans cette vielle mansarde. J’en ai assez de vivre ici.
-Vous désirez quitter cette ville ?
-Non ce pays entier m’étouffe, me brûle, ce n’est plus vivable. Mon tendre ami, je vous en prie, sortons.
-Oui mon Maître. Je vais me vêtir.
-Ne parlez pas ainsi de vous vêtir…
Il s’approcha de moi, s’agenouillant, il posa sa tête sur mes genoux et embrassa le dos de ma main délicatement. Je poussai un soupire.
-Mon Maître, non cessez ceci…
-Je vous importune ?
-Non mais…je…vous me troublez.
-Mon doux prince, je vous trouble, en bien j’espère ?
-En trop bien mon maître…vous êtes déraisonnable. Je suis un homme…je vous en pris arrêtez vous là…
-Je le sais que vous êtes un homme !
Ce jour là j’ai du vous vexé, car vous vous êtes relevé et êtes partit dehors. Je restais donc assis dans se canapé, seul, me demandant où vous étiez aller une fois de plus. Je n’avais pas envie de me nourrir, comme bien des soirs en ce temps là. Je n’avais pas envie de voir une victime hurler dans vos bras pendant que vous lui ôtiez la vie. Finalement j’en eu assez de vous attendre et partis me coucher dans ce lit, dans notre lit.
A genoux, devant le grand miroir, je contemplais mon corps devenu si pâle à présent. Etait-ce bien moi devant cette glace ? Mon teint blanchâtre, mes yeux autrefois bleu étaient devenus rouges, même mes cheveux avaient changés, lisses comme la soie, à présent ils bouclaient pour je ne sais quelle raison. Mon maître, vos cheveux bouclaient à vous aussi…
Je restais donc là, devant ce miroir. Lorsque je vis votre reflet dans la glace.
-Alors moi, je n’ai le droit de voir votre corps et cette chose froide et sans vie, elle en a l’honneur.
-Mais je…
Vous vous êtes alors approché de moi, d’un pas lent, me fixant de vos yeux glacés. Je vous regardai avancer, me demandant ce que vous alliez faire. Vous étiez venu vous agenouiller près de moi.
-Mon Maître…pardonnez moi.
-Taisez vous.
Vous aviez murmuré, me prenant la main et me tirant vers vous.
-Vous êtes glacé mon jeune ami. Quand accepterez vous de vous nourrir par votre propre moyen, on ne peut continuer ainsi…
-Cela vous déplait de me nourrir ?
-Non, mais ce n’est pas bon pour vous, si un jour je ne serai plus là comment allez vous faire ?
-Non ne dites pas ça maître…taisez vous, je vous en pris.
Je me jetait dans ses bras oubliant que j’étais à moitié nu, me serrant contre lui. Il me repoussa, me prit doucement le menton et m’embrassa, écartant doucement les lèvres je le laissai s’insinuer en moi comme si c’était normal. Il passa sa main derrière ma tête et noya ses doigts dans mes cheveux, soudain il me poussa, me forçant à m’allonger sur le sol froid
-Que faites vous ?
-Taisez vous…
-Maître ?!
-Chut…
Il se mit sur moi doucement, tremblant légèrement, mais qu’allait-il me faire ? Je tremblais moi aussi, mais je ne saurai dire de quoi. Soudain il passa sa main sur mon cou et mes épaules, pour me caresser le torse du bout des doigt, je ressentis un frisson étrange me parcourir le corps et fermai les yeux. Il reprit son baiser ou il l’avait interrompue, mais cette fois de manière beaucoup plus sensuelle, il laissa courir ses doigts autour de mon nombril, puis il descendit d’un coup dans mon pantalon sans prévenir, il se mit a me caresser avec douceur, continuant de m’embrasser.
-Arrêtez…
-Pourtant vous avez l’air d’apprécier.
-S’en est trop arrêtez.
-Mon tendre ami, si vous saviez la torture que vous me faites subir…
-Maître…retirez vous
-Non, tous les jours, toutes les nuits, je rêve à ce corps découvert à mes yeux, je rêve de vous caresser tout entier et de vous couvrir de baisers, je vous aimes vous le savez mon tendre ami.
-Arrêtez maintenant ! s’il vous plait !
J’avais presque crier, ce qu’il venait de dire me troubla énormément et j’avais peur de ce qu’il allait ce passer, mais je ne voulais pas vraiment qu’il retira sa main…car déjà j’étais excité par ses caresses.
-Vous devenez indécent mon prince.
-Je…maître…je vous aime.
-Alors laissez moi faire.
Il reprit ses caresses là ou il les avaient arrêtées, provoquant en moi une forte chaleur. Je passai mes bras sur ses épaules et resserrai mes doigt sur celle ci. Il fit descendre mon pantalon sur mes cuisses et passa ses mains sur mon séant, le caressant du bout des doigts, remontant sur mes hanches. Je le couvrit de baisers ardents et lui retira sa chemise avec des gestes tremblants. Il s’en débarrassa en quelque secondes et je pus lui embrasser le torse jouant avec ses tétons frémissants sous ma langue. Il me serra contre lui, gémissant, je collais ma tête sur son torse. Il continua ses caresses.
-Mon jeune ami, que vous êtes vicieux…
-Je n’ai fait que suivre votre enseignement Maître.
-L’excitation vous ôterai-t-elle toute timidité ?
-Il se pourrait bien…
Je lui jetai un regard provocateur et glissais ma main dans son pantalon, le caressant doucement, me repérant a ses mouvements, il ferma les yeux soudainement et pencha la tête en arrière gémissant, mon initiative provoquant une forte excitation en lui, il accéléra ses caresses, s’en suivit nos deux gémissements entre mêlés. Et soudain, il enleva sa main, se penchant sur moi, embrassant mon torse, fit descendre mon pantalon sur mes chevilles pour me le retirer enfin. J’attendis qu’il se relève, mais au lieu de ça…
-Maître non…ar-arrêtez…
A cet instant je ne su ce qu’il fit avec sa langue sur moi mais je poussais un cri et après ceci je ne souhaita plus qui cesse, je ne m’opposai plus à ces initiatives, et je sentis une agréable chaleur parcourir tout mon corps, tel un frisson. Sursautant à certains de ses mouvements. Je ne sais comment il le fit mais quand il se releva, il était entièrement dévêtu. Je passais mes mains sur son torse dans un soupir d’excitation. Il m’écarta les jambes et vint se frôler à moi dans un mouvement très sensuel. Je laisser un autre gémissement s’échapper et m’agrippais à ses épaules fortement. Collés l’un à l’autre, je sentis son ventre contre le mien, son torse…Allant de gémissements en gémissements, il mit mes jambes sur ses hanches continuant de se frotter contre moi et soudain il passa sa main entre mes cuisses et s’introduit en moi.
-M-M-aitre…
-Ce n’est rien que mes doigts mon tendre prince.
-Mais c’est…si…aah…
-Chut, mon ami, chut…
Il m’embrassa encore pour me faire taire sûrement. Il continua allant de plus en plus loin, provoquant des sortes de cris, puis au bout d’un temps qui me semblai trop court, il se retira, me prit par les hanches avec douceur. Il me poussa en arrière, puis me mis dos à lui, me tirant pour m’agenouillé. Il se colla a mon dos, m’embrassant dans le cou, puis il vint me murmuré d’étranges choses à l’oreille. Il passa ses mains sur mes hanches et les fit descendre me caressant encore.
-Vous êtes définitivement indécent mon tendre prince.
-C’est vous qui…me mettez dans un état pareil…
-Laissez moi vous dire que vous aurez sûrement un peu mal avec ce qui va suivre.
Et soudain je poussai un cri déchirant, partagé entre douleur et plaisir, je saisis sa main et resserrai mes doigts sur les siens aussi fort que mon état me le permettais. Il avait fait de moi sa chose, s’assurant que je ne le quitterai plus jamais, me possédant de tout son être, s’accaparant mon cœur et mon corps. Il allait ainsi en moi sans épargner un seul centimètre de ma peau de ce frisson qu’il prenait tant de plaisir à éveillé en moi. Ou bout d’un certain temps je me surpris a gémir, fermant les yeux, mon cœur s’emballait, ma respiration ce fit de plus en plus courte. Et les mains de mon maître courant sur moi provoquant en moi des montées de chaleur si douces…
Il se mit à gémir de plus en plus intensément, il continuait de faire glisser ses doigts sur moi sans pudeur, jouant avec mon sexe, et le sien en moi…je poussais des cris qui allaient de plus en plus fort, il accéléra. Mon corps se mit à trembler, de plaisir, de désir, d’amour. Ma tête…elle me tournait, est-ce possible ? Nous les créatures du mal, avions nous le droit de connaître un tel plaisir ? Sans être punis…Et surtout, lui et moi, mon maitre. Deux hommes, vampires, avions nous le droit ?
Cela dura, je ne saurai dire combien de temps, une heure peut être, deux ? je ne sais…ça me semblait si court et si long à la fois. Son corps contre le mien, j’aurai voulus qu’il reste ainsi toujours. Mais au bout d’un temps, que je ne puis jamais évaluer, je sentis en moi une chose étrange au creux de mon ventre, gémissant encore et encore, puis soudain je ne pus retenir un cri, et je sentis couler entre mes jambes et sur ses doigts, mon désir. Glissant le long de son bras, entraîner par ses mouvements qui se faisaient plus intense, chaud, il coulait entre mes jambes et puis je criais de nouveau, il venait de déverser en moi son propre désir et je le sentis s’insinuer dans les profondeur de mon être, entre mes cuisses. Il se retira en gémissant.
Je me recroquevillai sur moi-même, le souffle court, je tremblai et pleurai. J’avais mal, mais je n’y pensais pas. Mon maitre rampa près de moi et passa sa main sur mon dos.
-Mon doux prince, vous pleurez ?
-Maître…je…ne sais que dire. Répondis-je en restant replier sur moi-même.
-Ne dites rien alors. Mon tendre ami, je…vous devez vous en doutez mais mes sentiments pour vous sont plus que ce qu’ils devraient être.
-Vous m’aimez ?
-Oui, et vous ? M’aimez-vous ?
Je le regardais dans les yeux et me mis à pleurer, me jetant dans ses bras.
-oui, oui je vous aime maître. Je vous aime tant, et je n’ai rien oser dire, parce que je pensais que c’était mal, que je ne devais pas parce que vous êtes un homme et parce que vous êtes mon maître, je me sentais sale et vous qui me faisiez des avances…je ne savais que faire…maître, je vous aime.
Il m’embrassa et me serra dans ses bras. Je me serrai contre lui, sentant nos corps se frôler, j’aurai presque eu envie de recommencer, mais la douleur me rappela à l’ordre.
Et puis je sentis une brûlure sur le dos de main, le soleil levant était entrain d’insinuer sa lumière dans la pièce.
-Maître, nous devrions nous couchés, le soleil…
Il se retourna et jura. Puis il me serra dans ses bras et m’allongea dans le lit, il se glissa ensuite dans les draps à mes côtés et se colla contre moi. Les rideaux nous protégeaient et le soleil pouvaient se lever aisément, rien ne pouvait nous empêcher de dormir, l’un à côté de l’autre.
-maître…
-oui ?
-je…cette nuit il faudra que vous alliez chasser de nouveau seul…
-je vous nourrirai. J’aime faire ainsi.
Il m’embrassa de nouveau me serrant contre lui. Son corps était si froid même après ce que nous venions de faire, le mien aussi, et je ne m’étais pas encore nourris. Soudain, mon maître me pris la tête et la tira vers son cou.
-buvez, j’ai oublié de le faire avant.
-Maître vous allez être épuisé.
-Non, buvez sinon vos blessures ne guérirons pas.
Je ne répondis rien et planta mes canines dans son cou, buvant son sang une fois se plus. Je voulus reculez avant de m’être nourris entièrement pour ne pas l’épuiser mais il tenait ma tête contre lui et m’en empêcha. Il noyait ses doigts dans mes cheveux et je buvais encore. Quand j’eu finis je reculais et essuyai le filet de sang qui coulait de ma bouche. Il me prit la tête entre ses mains et m’embrassa de nouveau, sauf que cette fois je me serrai contre lui, répondant à son baiser.
-je vous aime. Dit-il
-moi aussi je vous aime, mais avons-nous le dr…
Il m’interrompit posant son doigt sur mes lèvres.
-Ne vous souciez pas de ça mon tendre ami.
Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres et s’endormit, me serrant contre lui. Je fis de même quelque instants plus tard.
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MaD QueeN
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:06

Chapitre 4






C’était en hiver, et mon maître et moi habitions désormais à Paris. La neige avait recouvert le pavé et la nuit nous sortions souvent pour nous balader dans les grandes rues. A cette époque, je devais me travestir pour ne pas éveiller de soupçons. Alors mon maître me faisait faire des robes, plus somptueuses les une que les autres, et lorsqu’on lui demandait pourquoi je n’avais aucune poitrine, il répondait :
-Il en est ainsi et ce n’est pas cette absence qui va m’empêcher d’aimer ma chère épouse.
Il me faisait rougir en disant cela, bien sur que ça ne le dérangeait pas, il n’aimait pas les femmes. Mais ce qui m’étonnais en ce temps là , c’est que tout le monde me prenait pour une femme même si je ne faisais aucun effort pour y ressembler. Et lorsque je mettais ces longues robes, il me regardait en souriant, puis me prenait dans ses bras pour m’embrasser tendrement. Peut être était cela que ma mère, de son vivant, appelait le bonheur. Mais de telles créatures pouvaient-elles savoir ce qu’ était le bonheur ?
Au bout d’un certain temps dans les rues de Paris, et dans les soirées dans les quelles nous nous rendions, lui et moi, les gens nous regardaient d’un air étrange et j’entendais murmurer sur notre passage.
-Voyez comme sa femme est belle…
-Oh, vous savez j’ai entendu dire que c’était un travestit.
-Non ! C’est impossible, son visage est si fin !
Souvent je resserrais mes doigts sur son bras et m’efforçai de ne pas montrer ma colère. Mon maître, lui, avait l’art de les ignorer.
Un soir, alors qu’il était allé parler avec d’autres personnes, et j’étais resté seul sur la terrasse à observer la lune. Soudain de jeunes enfant virent me tourner autour, je ne dis rien au début, mais à un moment l’un d’entre eux se planta devant moi et me fixa. Je lui souris timidement et retournai à mon observation de la lune, mais il me donna un coup de pied dans le tibia. Je poussai un cri de douleur et tombai sur le sol. Aussitôt les jeunes enfants se mirent à me tirer les cheveux et déchirer des dentelles de ma robe.
-La sorcière ! la sorcière ! elle est vilaine ! ou plutôt vilain ! c’est un monstre qui n’a pas de sexe et qui se prend pour une femme, la sorcière ! la sorcière !
-Arrêtez ! Criai-je. Arrêtez ! Maître !! Aidez moi ! Ca suffit, laissez-moi !!
Les petits monstres se mirent à me tourner autour en répétant leur insultes et en me frappant. J’aurai pu les dévorer et m’en débarrasser, mais il y avait du monde et je ne pouvais rien faire que vous appeler à l’aide. Pour finir quelqu’un était allé chercher mon maître et quand il vit ce qu’il se passait, il s’énerva, repoussant les enfants et me pris dans ses bras.
-je suis là, mon amour, pardonnez moi, je n’aurais pas du vous laisser seule. Pardonnez moi.
Il me serrait contre lui, caressant mon visage pour sécher mes larmes. La robe était déchirée, et mes boucles d’ébène retombaient sur mes épaules blanches comme le nacre. Je sanglotai, enfouissant mon visage contre son torse, les enfants étaient restés là à me regarder.
-Elle pleure…les hommes ça ne pleure pas.
-Alors ce n’est pas un homme !
-ALLEZ VOUS EN !!
Ils déguerpirent, il avait crié si fort que toute l’assemblée s’était retournée. Notre hôte vint vers nous et nous demanda ce qu’il s’était passé.
-Il s’est passé que vos enfants ont agressé ma compagne de façon injustifiée. Je vous prierai de nous excusez de notre impolitesse mais nous ne pouvons rester une minute de plus ici.
Il n’avait même pas attendu qu’on lui réponde, qu’il me pris par le bras et m’emmena loin de cet endroit. On marcha pendant un certain temps dans les rues enneigées de la capitale, puis soudain il me tira par le bras dans une ruelle sombre et m’embrassa amoureusement.
-Maître, pas ici…
-Je me fiches de où, j’en avais envie depuis longtemps.
-Alors rentrons.
-Pas tout de suite. Répondit-il
Il passa son doigt sur mes lèvres et sourit doucement. Il fallait que l’on chasse avant de rentré. Je lui souris à mon tour. Depuis quelque temps j’avais enfin accepté l’être que j’étais et ne refusais plus de chasser en sa compagnie. Je le laissais seul dans la petit ruelle et retournai dans la grande allée où nous étions auparavant. J’accostai timidement un jeune homme qui passait par là et lui demandait un renseignement quelque conque. Il me répondit, et m’expliqua le chemin à prendre. Pendant qu’il parlait, l’air autour de nous se fit plus froid encore et toutes les lumières se mirent à vaciller , mais il ne sembla pas s’en rendre compte. Soudain, mon maître apparut derrière lui, poussant un petit grognement. Le jeune homme se retourna et je lui mordit le cou avant même qu’il ai eu le temps de crier, mon maître l’attrapa et le mordit à son tour de l’autre côté. Quand je sentis la vie s’échapper de ce corps, je reculai, m’essuyai la bouche, mon maître fit pareil et laissa retomber le corps sans vie, dans la beige, son sang maculant la neige. Il me prit dans ses bras et m’embrassa encore une fois. Le sang se mêlant dans ma bouche. Je poussai un gémissement et reculai.
-Il faut rentré pour continuer ce baiser, mon maître.
-Cela commence à vous plaire ?
-Oui, commence…Rentrons à présent, je n’ai pas très faim et je me sens épuisé.
-Bien, puisque vous le désirez.
Il passa son bras autour de mes hanches et on repartit en direction de notre demeure.
C’était un petit appartement dans les grandes rues de Paris. Nous avions fait installé notre chambre de façon à se que le soleil ne puisse pas pénétrer dans la pièce. Sur le chemin du retour nous discutions tranquillement, lorsque le maître s’arrêta, mettant son doigt sur ses lèvres. Soudain il tourna la tête vers une ruelle mal éclairée.
-Je veux que vous rentiez à la maison seul. Dit-il
-Mais pourquoi ?
-Je vous dirai, sauvez vous aussi vite que vous le pouvez mon amour, s’il vous plait.
-Mais…maître…
-Allez vous en ou alors il sera trop tard !
Je le fixai avec un air interrogateur et soudain je vis deux yeux rouges apparaîtrent dans la ruelle, puis des crocs, mais bien plus grand que ceux des vampires. Un grognement ce fit entendre et je vis un lycan sortir de l’ombre. Mon maître se plaça devant moi pour me protéger.
-Allez vous en mon ami, sinon je ne pourrais vous protéger.
-Mais maître je ne peux vous laisser seul !
-PARTEZ !
Je sursautai, le regardai une dernière fois et me décidai enfin à m’enfuir vers notre demeure. J’entendis un grognement derrière moi et ne pût m’empêcher de me retourner. Le lycan avait bondit sur mon maitre, toutes griffes dehors, bavant un mélange de salive et de sang. Mon maître le frappa au visage et je vis un flot de sang s’écouler sur la neige. Il lui avait crevé un œil. Et les lycans n’ont pas la faculté de guérir comme les vampires. Quand je voulus repartir vers notre demeure je butai contre un mur de poil nauséabonds. Je sentis quelque chose de visqueux et chaud me couler sur les cheveux. Je relevai la tête et me trouvai nez à nez avec un Lycan. Je me mis à hurler, mais il m’attrapa par la gorge me faisant taire. Je ne pouvais me débattre sous peine de finir écraser dans sa main griffue et puante. Il se mit à me renifler de tous côtés. Soudain il me jeta dans la neige et je me mis à ramper en direction de mon maître, mais le lycan m’attrapa par la cheville et me tira vers lui. Il posa un genoux à terre et me coucha sur le dos, donnant un coup de griffe sur le torse. Ma robe partie en lambeaux dans la neige et je vis mes plaies se refermer. Le loup-garou afficha un air surpris lorsqu’il constata que je n’étais pas une femme. Mais cela ne sembla pas le gêner. Il me prit de nouveau par la jambe et me retourna sur le ventre, soulevant les jupons de ma robe sur mes hanches.
-NON ARRETEZ !! Hurlais-je. MAITRE AIDEZ MOI !
Le lycan n’y prêta pas attention et me tira par les hanches pour me forcer à m’agenouillé. Je me débattis et rampai dans la neige. Soudain il plantât ses griffes dans mes cuisses et les garda enfoncées dans ma chair. Je poussais un cri de douleur et sentis mon sang chaud couler sur mes jambes. Le monstre lécha alors le liquide rouge et je me mis à crier de plus belle. Il poussa un grognement et plantât ses crocs dans mon dos. Si j’avais pu verser des larmes de douleur, je l’aurai fait. J’étais entrain de me vider du sang que je venais de boire, et je commençai à défaillir. A chaque fois que mes muscles se relâchaient, le lycan mordait plus fort, ou bougeait ses griffes dans mes cuisse pour raviver la douleur et faire couler le sang. Il était entrain de me torturer. Je n’arrivais plus qu’à gémir de douleur, et appeler désespérément mon maître qui se battait sous mes yeux. Je finis par m’écrouler dans la neige et les morsures du lycan ne me réveillaient plus. je sentais encore mon sang couler, j’entendais mon maître qui se battait et les grognements des lycans, mais je ne voyais plus rien. Mes blessures mirent du temps à se refermer cette fois et je ressentais une vive douleur dans les jambes. Soudain j’entendis un cri puis un bruit sourd ; d’un corps qui s’écroule dans la neige. Je voulus me relever pour voir si c’était mon maître ou le lycan mais je n’y parvint pas. Tout ce que je pus faire c’était d’espérer.
Soudain je sentis des pas près de moi et on me retourna, m’ouvrant la bouche. Je sentis du sang me couler dans la bouche.
-Je vous en pris buvez le, sinon vous allez mourir…
C’était du sang de lycan, je ne pouvais le boire et le recrachais aussitôt. On me secoua, me relevant.
-Mon amour, buvez le, pitié.
-Maî…
-Oui, c’est moi. Buvez le.
-Non…je…
Il soupira et soudain il me prit la tête et m’embrassa, puis je sentis du sang couler entre mes lèvres, il était chaud. C’était celui du maître, il s’était mordu pour me soigner. Je pris de son sang jusqu'à ce que je me sente mieux et puis je le repoussai. Lorsque je vis de nouveau, il était penché au dessus de moi et avait du sang sur le visage. Il me serra dans ses bras sans dire un mot, je passai mes bras autour de son coup et enfouit mon visage dans le tissu de sa chemise.
-j’ai eu si peur que vous mourriez, ils vous en voulaient à vous, je ne sais pas pourquoi.
-Peut-être parce que je ne suis pas une femme.
-Mais en quoi cela dérangerait des lycans ? ils ne devraient pas s’en soucier.
-Je ne sais pas, je n’avais jamais vu de lycans avant…il a …il a essayer de…
-Non chut, n’y penser plus, c’est finit il est mort.
Mon maître me prit dans ses bras et me reconduit à notre appartement. Pendant tout le trajet je me serrai contre lui, tremblant de peur. J’étais affaiblis et même lorsque j’essayai de bouger les jambes je n’y arrivai pas. La morsure des lycans était différente de celle des vampires et lorsqu’on était blessé par un de ses monstres, les plaies mettaient bien plus de temps à cicatriser.
Arrivés chez nous, le maître tira les rideaux de velours noirs et m’allongea sur le lit, me retirant mes vêtements pour regarder mes blessures. Il me coucha sur le ventre et nettoya mon dos. Puis pour la première fois en cinquante ans, je dus porter un bandage.
-Cela prendra quelques jours, je devrais chasser seul et vous nourrir comme nous le faisions avant.
Je hochais la tête, et le tirais sur le lit à mes côtés. Il retira ses vêtement couverts de sang et s’allongea, tirant les draps sur nous. Il m’embrassa doucement et me serra contre lui. Je m’endormis rassuré par sa présence
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:07

Chapitre 5





« Le maître m'allongea et me fixa dans les yeux. Me dit que j'allai souffrir quelques instants car mon corps allait mourir, qu’il partait mais reviendrai quand la chose serait passée. Ainsi il me laissa à demi nu dans ce lit, quand mon corps mourut je ressentis une vive douleur dans tout mon être et je me mis à hurler. Pourquoi n'était-il pas rester près de moi ? »

Les douleurs que je ressentis n’étaient comparable à aucune autre que j’avais ressentis dans toute ma vie. Mon cœur s’arrêta de battre, provoquant une vive douleur dans le torse et puis soudain je commençai à étouffer, je ne pouvais plus crier ma douleur qui se fit plus intense encore quand je sentis tout mon corps s’éteindre. Soudain je ne vis plus rien et sombrais dans un sommeil qui me sembla éternel.

Et puis, quand je rouvrit les yeux, rien n’avait changé, j’étais toujours allongé dans le lit de satin. Je me levai et me dirigeait vers un grand miroir. Quand j’y vis mon reflet je poussai un cri de terreur.
Ma peau était devenue si blanche que je voyais toutes les veines de mon corps. Et mes cheveux, qui étaient raides, avaient bouclés soudain. Mes yeux bruns avaient fait place a des yeux rouges comme le sang.
Je poussais un cri de colère et donna un coup dans le miroir, à ma grande surprise il se brisa en mille morceaux. Ma main fut blessée, mais je fis les coupures se refermées aussitôt et le sang s’arrêter de couler. Je restai alors sans bouger, fixant mon reflet brisé dans les morceaux de verre. Je voulus pleurer, mais aucune larme ne coula sur mon visage. Ou était-il ? Celui qui m’avais fait cela, où était-il allé après avoir déposé son baiser sur ma vie ?
Je tournai en rond dans la pièce, apeuré, énervé, je ne saurai dire quel était mon humeur se jour là, mais j’avais besoin que cet homme revienne et m’explique ce que j’étais devenu.
Finalement, il revint et quand il me vit, il s’arrêta, me fixant de haut en bas. Je me tournai vers lui et lui rendit son regard.
-Que m’avez-vous fait ? Demandai-je.
-J’ai fait de vous un des miens.
-Quoi ? Comment cela un des votre ? Dites moi ce que je suis devenu, pourquoi mes cheveux ont changés, et mes yeux ?
Il s’approcha de moi et me caressa la joue doucement du bout des doigts. Je frissonnai. Aucune caresses jusqu’à maintenant ne m’avait semblé plus douce, chaque millimètre de ma peau avait sentit ses doigts me toucher ainsi.
-Vous sentez ? Ecoutez autour de vous, tout ce que vous n’entendiez pas avant. J’ai fais de vous la créature la plus redoutable que le terre puisse porter. J’ai fait de vous ce que l’es mortels craignent le plus après la colère de Dieu. Vous pouvez à présent avoir le choix de vie ou de mort sur quiconque croisera votre route.
-Pourquoi ? dans quel but ? Pourquoi moi ?
-Dans quel but nous avons été créer, je ne sais pas, peut être pour montrer aux hommes qu’ils ne sont pas les maîtres de cette planète.
-En les détruisant ?
-Et alors ? nous sommes des chasseurs, comme le lion chasse le zèbre, comme l’homme chasse le cerf et est ce que cela vous poses problème ?
-Non.
Je me pris la tête et fermais les yeux. Tout cela était arrivé trop vite pour moi. L’humain que j’étais était un être faible.
Ma mère était malade sans cesse, elle mourut jeune et avant même de devenir un homme je me retrouvai seul. Peut être cet homme m’avait choisis parce que j’étais faible et parce que de toute façon je n’avais rien à perdre. Mais je ne pouvais pas accepter ce qu’il avait de moi.

Il restait des journées entières à me surveiller, je ne dormais pas, je n’y arrivais pas dans cet étroit cercueil qui sentait la mort. Je me tournais et me retournais pendant des heures sans trouver le sommeil. Et quand le soleil se couchait je ne tenais plus en place, tapant contre les murs en grognant. Je sentais mes entrailles criées famine. Réclamer le sang et la chair ardemment. Je hurlais de douleur pendant des nuits entières refusant de me nourrir. Si j’avais pu mourir de faim, au moins. Mais au lieu de cela je devais supporter une torture que je m’infligeais moi-même. Et le cercueil ne faisait rien pour arranger mon état.

Un matin, mon maître rentra couvert de sang, il semblait épuisé. Il s’effondra sur le sol. Je m’approchai de lui, tremblant à cause de la douleur qui me traversais les entrailles. Il me prit la cheville et me jeta à terre. Instinctivement je me mis à grogner. Il se pencha au dessus de moi.
-Vous mourrez de faim, pourquoi ne chasser vous pas ? Prendre des vies humaines vous dégoûte ?
Je ne répondis pas et le fixait, j’avais envie de hurler tant ma faim était douloureuse. Soudain il tira la dague qu’il portait à sa ceinture et plaça au dessus de mon cœur.
-vous voulez mourir ? c’est cela que vous voulez ? Plutôt que vous nourrir du sang des humains.
Je le fixai serrant les dents pour ne pas hurler et soudain je sentis une déchirure dans ma poitrine. Je me mis à crier ma douleur et ma faim. Il avait planté sa dague dans mon cœur. Mais aucun sang ne coula, et quand il retira la lame je vis ma blessure ce refermer.
-Vous n’êtes même plus humain. Alors pourquoi refusez vous de chasser cette espèce qui n’est plus la votre ?
-Parce que c’est répugnant ! Comment pouvez vous ôtez la vie de toutes ces personnes sans éprouver un remord ?
-C’est dans ma nature je suis née pour tuer ! Quand le comprendrez vous ! Nous sommes les créatures des ténèbres, notre vie c’est de donner la mort à tous ces immondes mortels !
-Alors c’est tout ce que j’étais pour vous quand vous avez décidé de me mordre ? Un immonde mortel ?
Il me fixa et soupira.
-Non, si je vous ai mordu c’est parce que vous me sembliez différent des autres humains. Lorsque j’ai vu votre peau si blanche déjà, j’ai cru voir l’un des notre mais vu n’étiez qu’un humain pleurant sur la tombe de sa mère. Vous avez l’air si différent de tous ces mortels qui se roulent dans les plaisirs de la chair sans en connaître le vrai goût, tous ces humains répugnants d’hypocrisie envers les autres et eux même... Je me sentais seul depuis toutes ses années ou je traîne mon vieux corps sans personne…
Je ne répondis pas et me relevai pour aller m’asseoir dans un coin de la pièce. Ma souffrance me forçait à me recroqueviller sur moi-même. Pour me pas hurler je me mordis la lèvre oubliant mes canines, je me blessai mais guérissait aussitôt. Il s’approcha de nouveau de moi et me releva la tête.
-Vous devez vous nourrir.
-Je n’en ai pas envie.
Alors, il prit sa dague et fit courir la lame le long de son bras, son sang se mit à couler et je le fixai, les reflets rougeoyaient dans mes yeux et je ne pus à partir de cette instant ignorer ma faim, elle était trop présente, chaque centimètres de ma peau criait qu’il fallait que je me nourrisse. Lorsque sa blessure se referma il en ouvrit une autre et fit couler son sang une fois de plus sous mes yeux. De nouveau la douleur, plus cruelle encore parcourus mes entrailles. Je l’entendais en moi qui me hurlait de le mordre, de prendre ce sang qui coulait mais je résistait, alors une vague de douleur plus forte encore me traversait. Je hurlais, grognais, plantais mes canines dans ma lèvre, tout pourvu que je ne cède pas et mon maître qui s’entaillait à chaque fois plus profond pour son sang coule encore et encore.
Je luttais pendant une heure peut être deux contre ma famine et mon instinct de vampire mais quand ce fut trop beaucoup trop pour mon esprit, je saisis le poignet de mon maitre et le mordit. Il poussa un cri de douleur mais se laissa faire. Je bus son sang, sentant la chaleur se loger dans mon corps, la douleur disparaissant. Et puis quand le maitre eu juger que ce fut assez il me fit lâcher prise et enroulant un tissu autour de son poignet. Je restai sans bouger, du sang dégoulinait de ma bouche, je poussai quelque petits grognements. Le maitre me fixa et je lui rendis son regard.
-Je vois que pour finir c’est le vampire qui a prit le dessus.
Il se leva et partit se coucher dans son cercueil car le soleil allait se lever. Quand je fus calmer j’en fis autant.

Je m’étais laissé emporter par ma faim et mon instinct de vampire, j’avais bu son sang, sauvagement. Mais je ne me sentait pas coupable d’avoir pris la vie d’un mortel car c’est lui qui l’avait fait. Cette façon de me nourrir me convenais et je décidai que nous ferions ainsi.
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 25 Nov - 0:08

Chapitre 6




Au début de ma vie de vampire, lorsque je n’acceptais pas encore cette chose que j’étais devenu, lorsque la nuit tombait le maître allait chasser pour deux et revenait pour me nourrir. Chaque soir au poignet, et chaque soir j’en voulais plus. mon appétit épuisait mon maître. Je le voyais et me sentais coupable, mais je ne pouvais pas me résoudre à prendre une vie humaine.
Un soir il partit chasser et quand il revient il poussa une jeune femme dans le grand salon. Elle se jeta à mes pieds en pleurant.
-Pitié sauvez moi de ce monstre ! Cria-t-elle
Je la regardai tristement et elle compris que je n’était pas mieux que lui. Alors elle recula et voulut s’enfuir mais mon maître la rattrapa et la jeta de nouveau à mes pieds. Il me fixa.
-Je ne peux plus vous nourrir, je suis trop affaiblis, je n’arrive plus a chasser comme avant, alors prenez la et peu m’importe que vous vous sentiez coupable. Dit-il sans même me laisser le choix de répondre
La jeune femme s’agenouilla devant moi et me prit la jambe me suppliant de l’épargner. Je reculais et la fit lâcher prise. J’avais faim pourtant, je le sentais et le maître savait que j’allais à un moment ou un autre laisser mon instinct me contrôler. Il quitta la grand salon et ferma la porte à clef. Il avait décidé de me torturer jusqu’à ce que je cède.
-Eloignez-vous de moi ! Ordonnai-je à la jeune femme
-Mais pourquoi ?
-Eloignez-vous ! Je suis comme lui, un vampire mourrant de faim, je ne pourrais pas me retenir longtemps ! Eloignez vous, trouvez quelque chose pour vous défendre, brisez la vitre je ne sais pas…mais quelque chose je refuse de vous tuer.
Je partis me coller contre le mur de la pièce et évitai de la regarder. Elle était par terre près du fauteuil dans le quel j’étais assis quelques secondes plus tôt. Elle était si jeune, aussi jeune que moi lorsque le maître m’avait mordu. Je ne pouvais m’empêcher de la fixer, si je ne la mordait pas qu’allait-il se passer ? Le maître s’en chargera, mais je mourrais toujours de faim. Et il ne voulais plus me nourrir. Je devais choisir entre tuer cette jeune femme et accepter enfin ce que j’étais, ou alors voir défiler sous mes yeux des humains jusqu’à ce que je meurt de faim.
Ma mort ou la sienne ?
Si je le voulais je pouvais la tuer vite sans qu’elle souffre, mais si je ne le faisais pas, ma mort à moi, serait lente et douloureuse et je ne pouvais rien y faire…
Le choix était vite fait. Sa mort, je lui épargnerai la souffrance.

Je m’approchais d’elle. Elle se recula, évidemment, je lui avait dis de s’éloigner de moi. Seulement je n’avais pas le choix, et la pauvre n’avait aucune chance contre une créature comme moi. Je continuais d’avancer vers elle, et bientôt la jeune femme se retrouva coincée dans le coin de la bibliothèque. Elle me supplia du regard.
-Pitié, je ferais ce que vous voulez, je vous en prie ne me tuez pas…
Elle se mit à genoux me prenant la jambe et pleurant toutes les larmes de son corps. Je m’agenouillais devant elle et la tirai dans mes bras. Ce n’est qu’après que je me rendis compte de la cruauté de mon geste. Elle a dû croire que j’allais l’épargner, la laisser partir ou bien la garder avec moi à mon service, mais j’avais beaucoup trop faim pour ça… je la serrai contre moi et caressait sa douce chevelure d’ébène. Ecartant petit à petit sa tresse de son cou, laissant apparaître la chair blanche. Je la fixai, je ne saurai dire si ce que je ressentais était du désir ou du dégoût, mais ce qui est sur c’est qu’à peine j’eu écarter les lèvres que je me jetai sur elle dans un grognement. Elle poussa un cri de douleur et de surprise, trahie, par la créature en qui elle avait cru trouver le salut. Je sentis ses petits doigts fragiles se resserrer sur mon dos, de plus en plus, et puis elle lâcha un petit gémissement et ses doigts lâchèrent prise, son corps s’alourdit et je la laissais glisser sur le sol.
Je regardai son visage endormie, ma morsure, essuyai le sang qui coulait de ma bouche et me mis à pleurer sans verser de larmes.

Lorsque le maître entra de nouveau dans la pièce, il me trouva serrant la pauvre jeune femme dans mes bras et la fixant d’un regard vitreux. Il vint s’agenouiller à côté de moi et posa sa main sur mon épaule. Je ne bougeai pas, seuls mes yeux se tournèrent vers lui.
-Cela devait bien arriver un jour.
Je ne lui répondit pas et resserrai mon étreinte sur le corps de la jeune femme. Il me tira en arrière pour me la faire lâcher.
- C’est finit elle est morte. Lâchez la
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeLun 26 Nov - 22:41

Hayatooooooo Cochooooooooooonneuh!!!! è_é Rah j'aime pas les vampires snif é_è C'est traitre, c'est lâche! C'est gneuh >______<
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeLun 26 Nov - 23:22

Eh ! cochonne ok, mais traitre è_é je suis pas un traitre greuuuh Mad
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeSam 12 Jan - 2:29

bon....
à quand la suite?
je suis une grande fan moi! ><
et la chui un peut frustrée quoi! je reste sur ma fin...
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 13 Jan - 3:25

pas de suite parce que je dors pas donc pas de reve
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 13 Jan - 14:37

oooooh.......
mais pourquoi faut dormir la nuit!!!!
c'est pas bon à la santé sinon!!! ><
faut DOOOOORMIR!

et écrire des super fics après!!! ^^
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 13 Jan - 15:14

Un vampire ça dort pas la nuit 8'D
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 13 Jan - 18:40

a ouai c'est vraie....
mince.....
bah je sais pas moi faut trouver une solution pasque la je suis supra frustrée!!!! ><

et j'aime pas cette sensation!!!!!
c'est cruel de me laisser dans cette état!



et puis si tu es un Vampire et que tu dors pas comment tu as fais pour "rêver" tout sa??
...
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeLun 14 Jan - 22:52

Je dors le jour bande de moles du bulbe rachidien >.>

En ce moment je dors une demi heure dans le train et basta

Insomnie quand tu nous tiens cheers
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MessageSujet: Re: Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic   Les rêves chelou de mon inconscient retranscrits en fan fic Icon_minitimeDim 7 Sep - 1:46

Ben y aura pas de suite u_u voilà.
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